there's a loving in your eyes all the way, if i listen to your lies would your say, i'm a man, without conviction, i'm a man, who doesn't know, how to sell a contradiction, you come and go, you come and go | |
Identité › Barry, alias Big B, nom de famille au choix
Âge › la quarantaine, âge précis au choix
Date et lieu de naissance › pareil les petits choux, à vous de choisir
Statut marital › il peut avoir déjà été marié, donc être veuf ou divorcé (autant de fois que vous le souhaitez), mais sinon il est officiellement
et officieusement en couple depuis quelques jours
Orientation sexuelle › il est bisexuel, même si pour le moment, il garde son attraction envers les hommes secrète.
Occupation(s) › directeur de création dans une des plus grandes agences de publicité de New York, je vous laisse le loisir de lui trouver un petit nom
Traits de caractère › ambitieux, beau parleur, persuasif, taquin, calme, créatif, impitoyable en affaire, cynique, à l'écoute, l'air parfois un peu flegmatique, un peu glacial, mais peut se montrer aussi enjoué qu'un petit soleil
c'est les grandes lignes, libre à vous de nuancer tout ça
Suggestion(s) d'avatar(s) › Gabriel Macht, mais je suis super ouverte à toute proposition
Chasing yesterday › Barry, c'est pas le loup de Wall Street ni l'avocat véreux du tout New York, mais il en a pas moins le sourire carnassier et le regard inquisiteur. C'est un rascasse de la publicité, un champion du slogan et un coureur de ses dames. Il pourrait vendre n'importe quoi, à n'importe qui (même votre âme
). Mais ça, c'est la version officielle, c'est les bruits de couloirs, les potins qui se baladent d'agence à agence, du bureau de la compta à celui de Giselle, sa secrétaire qui tape sur son clavier plus vite que son ombre.
Parce que si son passé de don juan sulfureux garde un large fond de vérité -on dit qu'il aurait même été vu aux bras de plusieurs james bond girl, ce que Barry refuse d'étaler sur tous les toits, c'est que la personne qui le fait frémir en ce moment, c'est un homme. Mais il a une grande carrière, Barry, il a une réputation, Barry. Et surtout il a peur. Il a peur que tout ça vole en éclat, que le professionnel s'effondre à cause du privé. Il aimerait d'ailleurs que le privé reste le privé. Mais il est directeur de création, il est chef publicitaire. C'est lui un des visages de la boîte. Ça finirait par sortir, ça finirait par se savoir, et pour certains clients encore trop obtus, ça finirait par faire scandale.
Alors il garde ça secret, le Barry. Il se la joue tombeur des nuits échaudées, il sort aux bras de belles femmes. Pour sûr qu'elles sont belles, pour sûr qu'elles lui plaisent aussi. Mais pas autant que lui.
C'est alors qu'elle se pointe y a à peine quelques jours, la tempête rousse qui va lui offrir le rêve et le cauchemar. L'opportunité, l'exutoire et en même temps l'épine dans le pied.
Si j'ai défini la situation actuelle du personnage, vous êtes libres d'en faire ce que vous voulez concernant son passé. Il peut être issu d'une famille fortunée comme d'un milieu plus modeste, il peut avoir 3 frères et soeurs comme être fils unique, avoir des origines polonaises comme être allergique au beurre de cacahuètes, c'est vous qui voyez
De même, pour ce qui est du petit ami officieux de Barry, je vous laisse carte blanche, on pourra discuter ensemble de ce lien à trois (longue vie au trouple) et de son évolution, si vous préférez en faire un pnj ou qu'il soit joué (pour toujours plus de plotwist et de drama), mais j'ai grand hâte
Brenda Di Angelo › elle a peur de sombrer dans l'oubli, brenda. elle a peur de finir vieille et fripée dans un deux pièce à regarder les passants venir et s'en aller. elle veut son nom en grandes lettres lumineuses dans time square, elle veut sa tête sur toutes les bouteilles de lait. alors elle a toqué à la porte de l'agence de Barry, pour qu'il couvre ses prochaines campagnes pub. mais elle a essuyé un refus, catégorique, un peu blessant. ça la foutue en rogne, la brenda. pour qui ils se prennent ces grands gus en costard à lui dire non à elle. alors à peine l'accusé de réception tamponné, elle a joué la tornade jusqu'au bureau personnel de barry. elle en avait rien à faire des excuses de sa secrétaire, qui s'égosillait les poumons à lui dire que monsieur était indisponible, monsieur était en réunion. c'est quand elle a ouvert la porte, qu'elle a compris que la réunion en question était loin d'être officielle, d'être professionnelle. elle avait découvert son petit secret, brenda. et c'est le soir même, sur la banquête cirée d'un bar chic de midtown qu'elle a réussi à le faire capituler. un marché, un simple contrat. deux parties et deux bénéficiaires. personne serait lésé dans l'histoire. elle lui servirait de couverture, de concubine officielle, il lui servirait de levier publicitaire. un échange de bons procédés entre deux adultes consentants. qui sait sur quoi ça finira bien par déboucher.