EVERYTHING OPPOSITE.

Marcia, elle est maigre, belle en scène, belle comme à la ville, la voir danser me transforme en excité. Oh, Moretto, comme ta bouche est immense quand tu souris. Et quand tu ris, je ris aussi, tu aimes tellement la vie, quel est donc ce froid que l'on sent en toi ?

Nom › myers. Prénom(s) › certains lèvent les yeux au ciel, d’autres, ils les ont qui brille quand ils entendent son nom. rita, qu’on scande, rita, qu’on admire, ou au contraire, qui agace. rita, qui gueule, fait bouger les choses, rita, qui est connue pour des trucs, de l'écran d’cinéma à la simplicité actuelle. rita, celle qui parle, celle qui tente de faire bouger les choses. on la connaît rita, parce qu’elle est pas conventionnelle. Âge › les traits se creusent, peu à peu, sur son visage, tandis que les années s'écoulent. quelques cheveux blancs qui font leur apparition sous sa longue chevelure foncée, une femme, au sens propre du terme, le genre qui sait c’qu’elle veut, et surtout loin des enfantillages de gamin. parce qu’elle sait rita, que le temps il est précieux, qu’il passé, alors elle a pas d’temps à perdre. Date et lieu de naissance › c’est entre ces mêmes building et ces rues là qu’elle arpente tout les jours qu’elle vit l’jour, new york, là belle, en pleine extension, noyaux de l’american dream. c’est le quatorze février qu’elle vit le jour, date qu’elle déteste en général pour son côté beaucoup trop commercial. elle est pourtant condamné à c’qu’on lui souhaite une bonne saint valentin et non un joyeux anniversaire.  Statut marital › elle est trop occupé, pas le temps pour ce genre de connerie qu’elle dit. rita, c’est l’excuse qu’elle sort alors qu’en fait, elle est juste incapable de se stabiliser dans une relation. parce qu’elle flippe trop, elle voit des atrocités tout les jours et dans sa tête, la souffrance dans un couple est obligatoire. pourtant là solitude, elle s’empare d’elle, elle à peur de finir seule, alors elle enchaîne, volant d’une âme à l’autre, brisant quelques coeurs sur son passage. rita, elle refuse d’avoir l’coeur brisé, c’est elle là briseuse de coeur.  Orientation sexuelle › femme à homme dans toute sa splendeur, qui plante ses ongles dans leur chair chaude lors de l’acte intime, qui bave devant ces corps masculin divinement bien taille, incarnation même du désir pour elle, elle s’abandonne au plaisir le temps de quelques nuits pour pouvoir combler cette solitude infernale. Occupation(s) › d’une lubie à l’autre, rita, elle a jamais vraiment su c’qu’elle voulait faire, alors elle touche à tout. c’est pourtant une artiste, un coup on voit sa trogne placardé sur une affiche de cinéma, un coup on entend sa voix à la radio. elle aime l’art, et elle veut en vivre, alors elle se qualifierait peut-être plus de performer, mais c’qui est sûre, c’est que rita, elle réussit. parce que rita, elle charme, avec sa voix fluette, son visage doux, sa personnalité lumineuse. rita, elle met tout le monde à ses pieds, alors elle n’a qu’à claquer des doigts pour obtenir ce qu’elle veut, on lui donne tout sur un plateau en or à rita, elle n’a pas à se salir les mains. elle le fait même pas exprès. pourtant, ca l’empeche pas de se sentir inutile, alors elle s’est lancé dans un nouveau projet, le projet d’aider ces femmes dans l’besoin, parce qu’on en parle trop souvent mais on agit pas assez. elle a foutue en l’air ses économies pour pouvoir faire du stanton un lieu de refuge pour ces âmes perdues. mais elle s’en fou du fric, parce qu’elle n’a qu’à claquer des doigts pour se remplir les poches de nouveau. Traits de caractère › charismatique, ambivalente, indépendante, féministe, curieuse, lunatique, indécise, joviale, facile à vivre, maladroite, gaffeuse, control freak.   Chanson fétiche › the chains, fleetwood mac. Film fétiche › shining, son ultime favoris. Groupe › compact disc  Crédit(s) › tumblr.

Manhattan › Rita, si on se fit à ce que l’opinion populaire dira, elle est époustouflante Quand on la rencontre pour la première fois, on est abasourdi par son charisme, cet aura qui brille de mille feux autour d’elle. rita, on la connaît de par ses divers projets, et bien souvent on parle d’elle dans la presse, si c’est pas pour son dernier film, c’est pour son nouveau single, si c’est pas pour ca, c’est pour son engagement féministe.  rita,  on  sait pas vraiment qui elle est, l’outsider, mais du bon cote des choses. pourtant, quand on la connaît, on s’rend compte à quel point elle sait juste pas ce qu’elle veut, qu’elle est terrifiée à l’idée de voir le temps qui passé, elle est instable rita, et c’est pour ca que new york, elle lui correspond divinement bien, parce que parfois, elle va briller autant que les écrans de time square, parfois, elle va disparaître dans le noir du queens. parfois, elle va se fondre dans la foule, parfois, elle va se faire remarquer. rita, c’est un caméléon dans cette ville qui reflète cette image, cette instabilité constante.

Mais cette machine dans ma tête, machine sourde et tempête. Mais cette machine dans ma tête, leitmotiv, nuits secrètes, tatoue mon âme à mon dégoût. J'ai voulu tout chavirer, mon espoir s'est échoué, j'en ai marre de ramer. La détresse a pollué l'océan de mes pensées.

Borderline › Elle ère Rita, dans les rues, sans vraiment savoir ou elle va. Y a les larmes qui coulent sur ses joues,  elle a mal, beaucoup trop mal. Ses talons claquent sur le sol, ses cheveux volent au vent, elle sait plus quoi faire, où aller. Tout c’qu’elle sait c’est que ca fait mal, parce qu’il a tout gâcher.

rita, tu peux pas partir comme ca. tu peux pas foutre deux ans en l’air.

sa voix, elle l’entend encore, la supplier d’rester sauf que rita, on l’enchaine pas. rita, c’est un électron libre, qui charme par ses mots. elle a conscience de ses atouts, et elle en joue peut-être un peu trop. pourtant, c’pas une mauvaise personne rita, même si beaucoup ne comprennent pas au jeu qu’elle joue, elle même sait pas. rita, elle n’a jamais su c’qu’elle voulait dans la vie, elle bouge,  avance au gré du vent, venant de ces quartiers lointain du queens, ce p’tit appartement un peu miteux, dans lequel sa mère se battait pour nourrir les trois petites bouches. ils étaient pas destinés à de grande chose chez elle, elle n’était pas destiné à de grandes choses et pourtant, aujourd’hui, on la reconnaît dans les rues, on prononce son nom avec admiration ou au contraire, avec une certaine réticence. elle sait pas qui elle est vraiment rita, elle sait plus, parce qu’elle est partie , claquant la porte. c’est à seulement trente ans qu’elle s’était enfin trouvé, qu’elle avait compris qu’elle en avait marre de cette solitude et pourtant, ce bien être, elle le fout en l’air parce qu’elle refuse de plier l'échine devant les choses allant contre ses principes. le mariage, c’est plus souffrance qu’autre chose, il sera méchant, elle, elle finira les bouteilles traînant dans les placards. c’est comme ca, schema typique, schéma habituel. alors rita, elle est indépendante, c’est pas elle qui souffre, c’est elle qui fait souffrir et pourtant, là, elle a quand même mal, d'être partie, sans  s’retourner, foutant en l’air le seul moyen de savoir qui elle était vraiment. elle est de nouveau perdue, petite âme errante dans cette mégalopole américaine. elle est si petite, si brillante, mais si incomprise, telle une étoile éclatante dans le ciel.
puis elle continue d’marcher, jusqu’à ce que ses pas l'amènent ici. devant c’batiment abandonné, presque en ruine. elle sèche ses larmes la rita, une idée lui traverse la tête.

et y a son stylo, qui glisse sur le papier blanc tandis que le bruit du compte se fait. il pose, un billet après l’autre, calculant que le compte y est. elle s’en fou rita, c’est pas cet argent qui la rendra heureuse de toute manière. au moins, maintenant elle a un but tandis qu’elle observe ce papier, cet acte de propriété. il est a elle c’batiment, elle va pouvoir les aider, ces femmes dans l’besoin. elle le veut, vraiment.  c’est le début d’une nouvelle histoire, d’une nouvelle aventure, d’une nouvelle folie typique de rita tandis que l’inspiration lui viendra. p’t’être qu’elle écrira un film sur les mésaventure de ces femmes, pour qu’on les laisse pas dans l’oublie, pour qu’on parle d’elle, pour qu’on sache qu’elles sont là, et qu’elles existent, qu’elle survivent. qu’elles sont des battantes, des super héroïnes.

Are we gonna let the elevator Bring us down, oh, no let's go Let's go crazy, let's get nuts Look for the purple banana 'Til they put us in the truck, let's go

don't worry y'a pas mort d'homme. bon parfait du coup, j'aime rita so much, j'ai trop hâte de la voir évoluer parmi nous.

Ça y est, t'es prêt. Prêt à marteler le sol de Manhattan, prêt à danser toute la nuit, prêt à flipper quand tu rentres tard le soir et que les ombres te frôlent d'un peu trop près. Prêt à vivre, rire, vomir New-York et son vacarme assourdissant. Prêt à ressentir la musique et les animations de la ville jusque dans tes tripes. Maintenant, c'est à toi de jouer, d'écrire tes aventures quelles soient nocturnes ou ensoleillées.

Mais t'inquiètes pas, on va te guider encore un peu, ça peut faire peur les grandes villes comme ça. Pour commencer tu vas aller jeter un œil au bottin et à la liste des métiers (même si t'en as pas pour l'instant, ça peut t'aider à quitter le divan de tes parents un de ces quatre) et si jamais t'as été oublié hésites pas à envoyer un MP aux membres du staff. Puis tu vas aller écrire ton journal de bord, c'est plus pratique pour s'y retrouver. Et si jamais t'as besoin d'un lieu en particulier (la boutique de ton personnage par exemple, ou autre), n'hésites pas à demander à ce qu'on le rajoute ici. Désormais, on arrête de te prendre par la main, t'es maître de tes choix, néanmoins on te conseille vivement d'aller vagabonder dans le flood ou sur la CB pour qu'on puisse faire ta connaissance, puis t'en fais pas si t'es timide on mange personne (pas encore). Aussi, si t'es un autre compte, merci de te recenser juste ici sinon on va pas s'y retrouver !

Sur ce, nous te souhaitons de bien t'éclater ! Car c'est ça qui fait l'essence des 80's avant tout ; le FUN !