hope you guess my name

Please allow me to introduce myself, I'm a man of wealth and taste. I've been around for a long long year, stole many a man's soul to waste. And I was 'round when Jesus Christ had his moment of doubt and pain.

Nom › en entendant son nom, beaucoup baissent la voix, d'instinct, et murmurent "c'est quel gang, le vôtre ?". La vérité était toute autre, puisqu'Alfie était arrivé en territoire avec ses parents, italiens certes, mais propriétaires d'un magasin de pâtes. Fraîches, cependant. Des pâtes fraîches. Bellini. Prénom(s) › Alfie. A nouveau, rien de spécial, aucune signification derrière ce prénom choisi. Suona bene, disait sa mère. Ça sonne bien, oui.  Âge › 40 ans Date et lieu de naissance › Il est né à Naples, en 1945, à la sortie de la guerre. Son premier souvenir remonte à son voyage en bateau jusqu'à Staten Island. Statut marital › célibataire, en concubinage avec Floffy, un lapin qui a élu domicile dans son arrière-boutique. Orientation sexuelle › hétérosexuel Occupation(s) › propriétaire d'un speakeasy dans les entrailles de l'Empire State Bulding appelé Bellini's, dans la plus honnête simplicité. Sa plus grande occupation est de trouver un nouveau mot de passe tous les soirs, et de garder son stock bien rempli. Lieu fréquenté de la mafia mais aussi des hommes d'affaire à la recherche de discrétion, il essaye de ne pas trop dévier du chemin honnête d'un propriétaire de bar.  Traits de caractère › déterminé, maladroit, un peu malhonnête, loyal sarcastiqueChanson fétiche › il aime beaucoup les Rolling Stones, qui retentissent souvent bien trop fort dans son speakeasy, quand personne n'est là pour le voir s'imaginer en dangereux mafieux. Film fétiche › aussi cliché que cela puisse paraître, il attache une grande importance au film Le Parrain. Groupe › cassette Crédit(s) ›Mem0rial_FoX

Manhattan › Quand les lumières de Manhatten s'allument, que celles des bureaux s'éteignent, il fait partie de celles qui sont dissimulées. Dans la petite allée, derrière la bouche à incendie, si vous vous approchez assez, vous pourrez pourtant entendre de la musique déguisée par des voix enjouées. Ces sons, ils sortent de cette petite bouche d'aération sale que vous n'auriez pas vue autrement. Cette petite bouche d'aération, c'est la seule connexion qui relie Bellini's au reste du monde.
Si vous connaissez le chemin, alors je n'ai pas besoin de vous y conduire. Dans le doute cependant, rendez-vous devant l'Empire State Building et son impressionnant auvent, mais ne vous y attardez pas. Continuez à le longer, jusqu'à apercevoir dans un renfoncement, un amas de bois. Soulevez la bonne bûche, et vous vous retrouverez face à Alfredo, gardien du speakeasy. Chantez les mots juste, et la porte vous sera ouverte. Sinon...

Sinon elle restera fermée. Alfie ne pouvait financièrement pas engager quelqu'un d'impressionnant. Alfredo était un vieil homme qu'il avait trouvé sur un trottoir, en train de cirer des chaussures. Il l'avait débauché et, pour quelques dollars de plus par heure, il surveillait l'entrée du Bellini's.

Parlons d'Alfie, puisque nous y sommes. Italien de naissance, il est arrivé à Manhattan au tendre âge de cinq ans, quelques années après la seconde guerre mondiale. Ses parents tiennent un magasin de pâtes fraîches à Little Italy, mais ce n'était pas la vie rêvée pour Alfie.
Etant italien, il avait été assimilé à la mafia pendant la quasi-totalité de sa vie. Pour être honnête avec vous, la pire chose qu'il avait pourtant pu faire avait été de ne pas sortir les poubelles alors que sa mère lui avait demandé.
Ce sont pourtant ces préjugés qui lui avaient donné envie de rêver d'autre chose. De rêver de cigares et de verres de whisky, d'argent dissimulé sous un coussin du canapé, d'une voix grave et d'un accent italien qui pouvaient faire trembler même les plus grands de ce monde.

Dans l'espoir de pouvoir mettre un pied dans cette vie de crimes lui était venue l'idée d'ouvrir un speakeasy. Un endroit discret, où tous pouvaient se côtoyer sans que personne ne le sache. Il assistait à des rencontres entre différentes familles, à des bagarres, parfois. Il se contentait d'observer et de servir - là était tout l'attrait du Bellini's. Les murs n'avaient pas d'oreilles.



Aux premières lueurs du soleil s'en vont les derniers clients de la nuit. Alfie ferme alors la boutique et lance un vinyle des Rolling Stones, tout en rejouant les scènes de la soirée. Parfois, il aime s'imaginer mafieux recherché par la police, venu pour planifier son évasion. D'autres fois, il aime jouer au nouveau, au bleu, et s'invente toutes sortes de rituels d'initiation indolores. Une fois que la fatigue s'empare de lui, que la porte est fermée à double tours et à triple cadenas, que la ville reprend son cours, Alfie rejoint son arrière-boutique, transformée en appartement de fortune. Et lorsqu'il s'endort, ses rêves de grandeur continuent.

Please allow me to introduce myself, I'm a man of wealth and taste. I've been around for a long long year, stole many a man's soul to waste. And I was 'round when Jesus Christ had his moment of doubt and pain.

Borderline › Bien que la mafia le fasse rêver, Alfie sait qu'il n'aura jamais la carrure pour endosser cela. Ou peut-être espère-t-il n'avoir jamais la carrure. Il aime le confort, la certitude, la routine. Il aime surtout ne pas avoir un prix au-dessus de sa tête, ou un flingue à côté de sa tempe.

Are we gonna let the elevator Bring us down, oh, no let's go Let's go crazy, let's get nuts Look for the purple banana 'Til they put us in the truck, let's go

QUEL BONHEUR DE TE RELIRE MA POULE. u already know ce que je think about this little one, je l'aime beaucoup, il me fait déjà rire et fait battre mon petit coeur tout mou. on se trouvera un truc de bg, sinon je plreu ok.

Ça y est, t'es prêt. Prêt à marteler le sol de Manhattan, prêt à danser toute la nuit, prêt à flipper quand tu rentres tard le soir et que les ombres te frôlent d'un peu trop près. Prêt à vivre, rire, vomir New-York et son vacarme assourdissant. Prêt à ressentir la musique et les animations de la ville jusque dans tes tripes. Maintenant, c'est à toi de jouer, d'écrire tes aventures quelles soient nocturnes ou ensoleillées.

Mais t'inquiètes pas, on va te guider encore un peu, ça peut faire peur les grandes villes comme ça. Pour commencer tu vas aller jeter un œil au bottin et à la liste des métiers (même si t'en as pas pour l'instant, ça peut t'aider à quitter le divan de tes parents un de ces quatre) et si jamais t'as été oublié hésites pas à envoyer un MP aux membres du staff. Puis tu vas aller écrire ton journal de bord, c'est plus pratique pour s'y retrouver. Et si jamais t'as besoin d'un lieu en particulier (la boutique de ton personnage par exemple, ou autre), n'hésites pas à demander à ce qu'on le rajoute ici. Désormais, on arrête de te prendre par la main, t'es maître de tes choix, néanmoins on te conseille vivement d'aller vagabonder dans le flood ou sur la CB pour qu'on puisse faire ta connaissance, puis t'en fais pas si t'es timide on mange personne (pas encore).

Sur ce, nous te souhaitons de bien t'éclater !    Car c'est ça qui fait l'essence des 80's avant tout ; le FUN !