AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
chanson de la semaine › Scorpions - Still Loving You (1984) :rainbow:

film de la semaine › Sixteen Candles de John Hughes (1984) :pop:

Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

Partagez
 

 f › chi al cuore colpirà

Aller en bas 
AuteurMessage
Mickey Doloway
Mickey Doloway
avatar, crédit(s) › : étang noir, brad
Messages › : 7
arrivée › : 12/11/2019

quartier d'habitation › : ?


f › chi al cuore colpirà Empty
MessageSujet › f › chi al cuore colpirà   f › chi al cuore colpirà EmptyMer 13 Nov - 21:08

Chi al cuore colpirà
Je sais bien que tu l'adores, Bambino, Bambino
Et qu'elle a de jolis yeux, Bambino, Bambino
Mais tu es trop jeune encore, Bambino, Bambino
Pour jouer les amoureux.
L'amour et la jalousie, Bambino, Bambino
Ne sont pas des jeux d'enfant, Bambino, Bambino
Et tu as toute la vie, Bambino, Bambino
Pour souffrir comme les grands, Bambino, Bambino.
Identité › Marzia. Âge › Entre 22 et 26 ans selon l'avatar. Date et lieu de naissance › Au choix, à New York. Statut marital › Officiellement, Marzia est la chérie de son papa. Il ne lui refuse rien, cède à tous ses caprices et c'est une femme forte et indépendante.   Officieusement, elle est fiancée au fils du rival de papa pour maintenir la paix dans Little Italy. Et rien ne devra se mettre en travers de ce pacte macabre. Orientation sexuelle › Au choix. Occupation(s) › Héritière d'un Barron de la pègre. Elle a du fric en veux-tu, en voilà. Alors quand elle fait de choses, c'est pour le plaisir de faire et pas pour remplir le frigo. Ça varie selon ses humeurs et ses lubies du moment.  Traits de caractère › (keywords) Feu ardent, rire mélodieux, folie dantesque, provocante passion, regard de braise, tempérament tempête, tête de mule, grande compassion, coeur d'artichaut, manipulation sélective, rouge à lèvres signature, cuissardes à talons, épaulettes théâtrales. Marzia, elle ferait craquer le plus pieux des hommes avec ses yeux de biche et ses lèvres écarlates. Elle est belle à s'en damner et son visage est un appel à voyager, entre les plaines de l'Italie. Si on s'y penche un peu trop, on peut y déceler de la nostalgie. Celle des jours qui se consument. Celle de sa jeunesse qu'elle gâche à toujours tourner en rond car à force de courir partout, de tout voir et de tout faire, elle n'a aucune attache. Comme un bateau qui n'a plus d'ancre et qui erre entre deux eaux. Elle souffre d'un spleen qui lui colle à la peau et qu'elle tente en vain d'étouffer. Mais tous les plaisirs et les vices de ce monde ne suffissent pas à satisfaire ce trou béant dans lequel elle s'engouffre. Alors elle sourit. Et elle rit aux éclats. Pour faire taire toutes ces voix, celles qui lui murmurent qu'elle n'y arrivera pas. Et elle sort, beaucoup. Pour rencontrer du monde, pour danser, pour célébrer cette vie qui n'a ni queue, ni tête mais qui est entrecoupée de purs moments de joie. Elle s'entend mal avec les femmes, Marzia. Mais elle aime la compagnie des homos et des drags. N'en déplaise à son paternel. N'en déplaise à quiconque. Et elle l'ouvre quand elle est pas contente, à lâcher des "fuck you!" quand le coeur lui en dit. Elle hurle à plein poumons, parce qu'elle a peur de rien, Marzia. Car secrètement, elle se dit que si la mort lui tombe dessus parce qu'elle veut pas la fermer, y'a tout de même pire comme façon de crever. Suggestion(s) d'avatar(s) › Monica Belluci.  :coeur:

Chasing yesterday ›
Maman est morte jeune, Marzia l'a pas vraiment connu.
Elle se souvient d'une odeur. D'un parfum entêtant qui l'est de moins à moins à mesure que les années passent.
Elle s'y accroche de toutes ses forces.
Mais il s'estompe. Et avec lui, les souvenirs de celle qui l'a porté avant le monde.

Il y avait papa. Toujours calibré car on sait jamais quand faut dégainer.
Elle, elle l'a jamais vu comme un brigand.
Mais plus comme un soleil.

- T'es ma fille préférée.
- Normal, je suis ta seule fille.


Sourires complices.

Il a eu du mal à la voir devenir femme. Du mal à supporter les regards déplacés se poser sur les courbes naissantes de sa petite fille.
Il a pas vu le temps passer.

Mais il l'a entendu hurler, en anglais et en italien. À faire claquer sa langue comme des coups de couteaux.
Elle se laisse pas faire. Elle tient de sa mère.
Il a du mal à la regarder, parfois. Elle lui ressemble trop.
Parfois, il la voit. Dans des gestes, des regards ou des paroles. Et ça lui sert le coeur.
Elle s'en doute. Elle ne dit rien. Ils passent à autre chose.

Parfois, il remet sur le tapis cette histoire de fiançailles. Et elle s'énerve, le visage rouge écarlate.

- Aucun homme ne me dira jamais ce que j'ai à faire ! Pas même toi !
La main du paternel qui lui mord la joue. La claque résonne dans la baraque. Il s'en veut immédiatement. Elle lui en voudra bien plus encore.

Ils s'aiment. Mais elle fera toujours tout pour le pousser à bout. Pour lui montrer qu'elle n'est plus une petite fille.

Mickey Doloway ›
Un visage dans la foule.
Foudroyé par la foudre.
Et soudain, il n'y a plus qu'elle.
Elle et ses longues jambes. Elle et ses cheveux aussi noirs que l'encre.
Il pensait avoir fait le tour de la beauté.
Avant qu'elle ne le frappe.

Il y a des chansons qui s'écrivent dans sa tête à mesure qu'elle s'éloigne.
Des mots minaudés d'une voix suave.
Des mots qu'il aimerait glisser dans le creux de son oreille.

Elle s'en va et avec elle, cette nouvelle impulsion de vie.

- Tu la connais Joe ?
- Elle ?! Il rigole. La touche pas. C'est mieux pour tout le monde.

C'est comme lui interdire de regarder le soleil. Il s'en brûlerait la rétine, l'imbécile.

Marzia. Le prénom tourne en boucle, comme le dernier hit en vogue coincé dans la tête.
Sa nouvelle obsession a un nom. Aussi mélodique que ses hanches qui se déroulaient dans la rue.
Il y pense tous les jours. Plusieurs fois par jour.

- Mickey ! Tu vas pas en croire tes oreilles !!
On lui parle d'un atelier où les peintres se retrouvent et les corps se dénudent.
Le bruit court qu'elle pose pour eux. Au nom de l'Art, mais aussi pour agacer son père.

Planté devant cette toile blanche (qui le restera puisqu'il ne sait pas dessiner), il attend impatiemment. On dirait un gosse à Noël, qui tremble d'impatience à l'idée de déballer ses cadeaux.
Il secoue la jambe.
Mais c'est l'accalmie quand elle entre dans la pièce, vêtue d'un simple drap.
Il est paralysé.
Le temps s'arrête.

Elle fait tomber le linge blanc qui se meurt à terre. Et dans sa chute, il entraine son coeur.
À lui.
Celui qui n'aime que par instants. Que lorsque l'amour est pluriel.
Il est hypnotisé.

Elle est...
Sa Venus de Milo.
Sa Muse.
Revenir en haut Aller en bas
Mickey Doloway
Mickey Doloway
avatar, crédit(s) › : étang noir, brad
Messages › : 7
arrivée › : 12/11/2019

quartier d'habitation › : ?


f › chi al cuore colpirà Empty
MessageSujet › Re: f › chi al cuore colpirà   f › chi al cuore colpirà EmptyMer 13 Nov - 21:42

tel l'aventurier solitiare
En bas du contrat › Merci de t'intéresser à la petite  :kyu:

Je vais faire vite: Concernant leur relation, j'aimerais en parler avec la personne qui prendra ce scénario. Mais ce ne sera pas du tout mielleux. Car les passions sont vouées à l'échec, pas vrai ? Mais aussi parce que Michael n'est pas amoureux. Ou seulement d'une image.
Et que Marzia n'a pas attendu Mickey dans sa vie. Au contraire, je la vois bien le repousser car c'est une femme forte, qui n'a pas besoin d'un homme et encore moins d'un mec qui consomme les femmes comme lui. Ça va vraiment être la rencontre de deux forts caractères. Et j'aimerais voir ce qu'il va se passer, sans planifier à l'avance. Sans savoir si oui, ou non ils vivront une histoire ensemble. (d'autant que Mickey ne se pose jamais...)

Pour le reste, c'est assez libre. J'adore Monica pour le rôle, mais on peut en discuter.

Viens comme tu es, on verra le reste ensemble I love you
Revenir en haut Aller en bas
 
f › chi al cuore colpirà
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
› 1985 :: le héros s'appelle bob morane :: Take on me :: Scénarios-
Sauter vers: