gold dust woman.

Marcia, elle est maigre, belle en scène, belle comme à la ville, la voir danser me transforme en excité. Oh, Moretto, comme ta bouche est immense quand tu souris. Et quand tu ris, je ris aussi, tu aimes tellement la vie, quel est donc ce froid que l'on sent en toi ?

Nom › chambers, l'nom d'un paternel aux moeurs trop légère. chambers, comme un refrain incessant d'coups de ceintures. chambers, les effluves d'un alcool bon marché. chambers, il le porte sans la moindre fierté. Prénom(s) › lou, trois lettres, parce que le père aurait préféré avoir une fille, plus facile à élever qu'il passait son temps à beugler. Âge › vingt-sept ans. Date et lieu de naissance › le quatre août de l'année cinquante sept. Statut marital › célibataire. incapable de rester tranquille assez longtemps pour construire une relation qui se voudrait stable. Orientation sexuelle › il a l’œil qui se retourne trop facilement lorsque les jupes de filles se font prendre par le vent. le regard trop appuyé quand les poitrines malmènent les boutons des chemisiers. mais il a la curiosité dans les phalanges, et s'demande parfois quel goût ont ses semblables.  . Occupation(s) › champion en titre de roller derby, membre actif des cry baby, pour le meilleur et pour le risque. serveur/barman au Joy of The Void. Traits de caractère › lou c'est le feu ardent. le rire légendaire et les coups de têtes trop rapide. lou c'est l'improvisation en toutes circonstances, la réflèxion qui n'arrive jamais au bon moment. lou, c'est les problèmes permanents. les arrestations régulières, la grande gueule qui dit trop souvent non. c'est l'humour volatile, les sourires ravageurs, la bonne humeur qui se transforme trop vite. lou, c'est l'explosion au bord du cœur. Chanson fétiche › Part Time Lover, Stevie Wonder Film fétiche › Blade Runner, Ridley Scott Groupe › compact disc. Moodboard › lou. Crédit(s) › ici, à supprimer si inutilisé.

Manhattan › lou, il passe rarement inaperçue. c'est qu'il a la gueule trop grande ouverte. qu'il s'insurge pour un oui, ou pour un non et cogne des murs parfois sans véritables raisons. lou, ce sont les services de polices qui en parleraient le mieux, l'homme qu'ils ont connu gosse, celui qui se débrouille à merveille sur des patins mais qui a manqué de finir en taule un paquet de fois. lou, y'en a qui le traite de tapettes, pourtant les filles qui sont passés entre ses griffes pourraient se porter garantes - ce n'est qu'un connard avide de femmes, un connard au charme fou, un connard qu'elles devraient toutes rayer de leurs vies. lou, il est à l'origine de ragot qui le dépassent.
( c'est un fou. un sociopathe intenable. un fils de pute. une fiote. un bon à rien. un égoïste. un chien sans laisse. )
y'a des jours, lou, il aimerait mieux devenir invisible.

Blow weed, coke, pop X
Speedin' up the heartbeat bangin' in my chest
When you put it on me you relieve my stress
You got me so high, takin' deep, deep breaths
You get me so high, you get me so high

Borderline ›
- t'es qu'une merde. une sale merde, lou.
qu'il crache le paternel, dans un rire à vous hérisser le poil. y'a le gosse à terre, l'arcade en sang, qui n'a pas cessé de sourire. alors il cogne l'adulte, encore.
- si ta mère te voyait. c'est à cause de toi qu'elle s'est tirée.
il encaisse lou, autant physiquement que psychologiquement. sa mère, il ne l'imagine que sur le fond de ses paupières. il la voit blonde, des yeux océans et un rire d'enfer. c'est que l'homme seul a brûlé toutes les photos, tout les souvenirs et de sa femme il n'a gardé que le mioche. une façon de noyer son chagrin. une manière d'obtenir vengeance. s'il le frappe, c'est parce qu'il lui rappelle trop cette salope, qu'il a la même gueule d'ange, le même sourire narquois. s'il le frappe, c'est qu'il se souviens à quel point ils voulaient cet enfant et à quel point elle lui a arraché le coeur en claquant la porte lorsqu'il avait trois ans. s'il le frappe, c'est qu'il espère qu'un jour, il ne se relèvera pas. que son corps restera inerte, et qu'il pourra enfin finir ses vieux jours en prison. mais l'gamin il tient bon, l'gamin il se défend et plus années passent, plus les altercations sont fréquentes. plus les années passent, plus lou bombe le torse.
puis un jour, il claquera la porte.


- t'es qu'un fils de pute, lou. elle braille la brune, un putain de connard, tu t'es bien foutue de ma gueule.
- je t'ai pas promis le mariage. il hausse les épaules, accoudé derrière son bar, il essuie une énième "rupture". elle a les yeux larmoyant, la rage au bout des ongles quand elle fait claquer sa main contre sa joue. ça le brûle aussitôt. c'est qu'elle a laissé une marque, que la chaire est partie et le sang perle lentement. pt'ain c'quoi ton soucis Carla. elle grince des dents, se penche lentement par dessus le comptoir, décolleté en avant les filles qui traînent dans ton bar ça te suffisait pas, fallait que t'aille fricoter avec ma mère. il ricane chambers, se sert un shooter qu'il avale d'une traite avant de tourner les talons pour s'occuper de ses autres clients.

Are we gonna let the elevator Bring us down, oh, no let's go Let's go crazy, let's get nuts Look for the purple banana 'Til they put us in the truck, let's go

comme dit par mp, j'aime tout ce que j'ai lu, kamikaze il est vraiment trop cool entre tes doigts. je te valide avec plaisir, giga hâte de suivre d'un oeil attentif ses mésaventures.

Ça y est, t'es prêt. Prêt à marteler le sol de Manhattan, prêt à danser toute la nuit, prêt à flipper quand tu rentres tard le soir et que les ombres te frôlent d'un peu trop près. Prêt à vivre, rire, vomir New-York et son vacarme assourdissant. Prêt à ressentir la musique et les animations de la ville jusque dans tes tripes. Maintenant, c'est à toi de jouer, d'écrire tes aventures quelles soient nocturnes ou ensoleillées.

Mais t'inquiètes pas, on va te guider encore un peu, ça peut faire peur les grandes villes comme ça. Pour commencer tu vas aller jeter un œil au bottin et à la liste des métiers (même si t'en as pas pour l'instant, ça peut t'aider à quitter le divan de tes parents un de ces quatre) et si jamais t'as été oublié hésites pas à envoyer un MP aux membres du staff. Puis tu vas aller écrire ton journal de bord, c'est plus pratique pour s'y retrouver. Et si jamais t'as besoin d'un lieu en particulier (la boutique de ton personnage par exemple, ou autre), n'hésites pas à demander à ce qu'on le rajoute ici. Désormais, on arrête de te prendre par la main, t'es maître de tes choix, néanmoins on te conseille vivement d'aller vagabonder dans le flood ou sur la CB pour qu'on puisse faire ta connaissance, puis t'en fais pas si t'es timide on mange personne (pas encore).

Sur ce, nous te souhaitons de bien t'éclater !    Car c'est ça qui fait l'essence des 80's avant tout ; le FUN !